Pas grand chose ... juste de moi et de vous

mes poésies, mes musiques ... un peu de moi
Vos passions, un poème à  exposer, ou simplement votre sport favori. C'est par ici !

Dim 1 Nov 2009 15:16

L'étoile de ma vie

Un petit garçon le nez collé à  la fenêtre
Rêvasse des aventures qu’il à  plein la tête
Sa petite sœur et sa maman l’attendent pour manger
Lui cherche dans le ciel perdu dans ses pensées
elle lui dit que son repas ne sera plus chaud
lui il répond venez voir l’étoile comme c’est beau
Aux milieux de nulle part, des grains et du vent
Un vieux marin solitaire qui lutte fièrement
Accroché à  la barre il manÅ“uvre encore
Même si les éléments semblent les plus forts
Lui aussi regarde dans la nuit toute étoilée
La lumière d’un astre qui brille à  l’aveugler

Dans l’est de la France, un jeune de vingt ans
A fini sa journée et se prélasse en chantonnant
Il sort un peu pour en fumer une dernière
Lève les yeux et se plonge dans cette lumière
A quelques lieux de lui, junior range ses crampons
Sa maman le félicite il à  joué comme un champion
Tout les deux se serrent l’un contre l’autre pour regarder
Le spectacle de la nuit et l’étoile qui ne cesse de clignoter
Nicolas admire le ventre de Christelle qui devient rond
Il lui dit un grand « je t’aime » avec beaucoup de passion
Et finalement tout les deux ne trouvent pas mieux
Que de s’embrasser sous cet astre qui brille de mille feux

Il est déjà  tard dans ce bon vieux département du Loir et Cher
La petite Manon rieuse vient de finir son dessert
Pour une fois elle à  dépassé la limite des vingt heures
Elle dit à  sa maman vient voir ce qui fait battre mon cÅ“ur
Alors toute les deux s’approchent pour découvrir dans le ciel
Une étoile qui les éblouie de lumière une pure merveille
Quelques parts dans un coin reclus du Limousin
A fini sa journée celle qu’on surnomme Isabelle numéro un
Enfin se dit elle je vais pourvoir un peu me reposer
Pas facile pour elle non plus de faire tout et d’assumer
Elle se pose un peu sur son balcon et regarde vers le haut
L’étoile qui danse et sa lumière qui lui écrit des mots

Krys et le Xavier se chamaillent dans un coin France
Pour une petite affaire de « kinder » sans importance
Soudain une luminosité les arrête tout les deux brusquement
Sous la brillance de l’étoile, Xavier lui dit « je t’aime » maman
A saint Malo la cité corsaire de Surcouf et des remparts
Trois petites têtes blondes s’amuse même s’il se fait tard
Mathieu et Elodie se regarde langoureusement dans les yeux
Sous l’astre qui brille de façon étrange ils échangent un vÅ“ux
Deux jeunes frères du 73 se disent aussi qu’ils vont y arriver
Et que l’espace ne demande finalement qu’a être explorer
Alors eux aussi regarde la lune et se disent qu’ils y iront
Et croient en l’étoile qui brille au plus fort du diapason

Du coté de Saint Etienne, un couple regarde la télé
Ils ont éteints pour un soir les ordinateurs démodés
Près d’eux le chien Flocon semble un peu intrigué
Devant cette lumière ces deux là  n’osent plus bougés
Dans un coin perdu de Lozère, Adèle rêve debout
A des fées et des elfes enfin c’est son monde c’est tout
Alors quand elle part la bas, elle regarde chaque soir
Briller cette étoile et alors elle continue d’y croire
Appuyant sur le bouton stop de son écran et fatiguée
Ninou sort jeter un Å“il sur la douce nuit de sa Vendée
Le tourbillon de l’étoile qui brille lui réchauffe le cÅ“ur
Elle se dit que tout va bien et ça lui donne du bonheur

Sortant de l’usine Didier à  enfin fini sa journée d’usure
Il n’a pas de chance et peste contre sa vieille voiture
Alors qu’il sort de celle ci pour voir ce qu’il se passe
Il reste sans réaction devant l’étoile qui lui fait face
Alors il lui tend la main et entre dans cette danse
Le temps et la fatigue n’ont plus pour lui d’importance
Quelques parts dans les Pyrénées Marc et Christina
Discutent et jouent avec leurs petites filles encore une fois
Ils leurs racontes des histoires de corsaires de maintenant
et d’un capitaine fou qui est parti un jour sur le grand océan
dans la douceur de la nuit ensemble ils entament la chanson
et sont surpris de voir l’étoile danser au rythme de leur son

Dans leur appartement, le petit garçon a du mal a tenir en place
Il entraine sa petite sœur et leur maman devant la glace
Une grande lueur ébloui d'un coup maintenant leur yeux
malgré la nuit c’est comme si ils avaient le soleil chez eux
Alors tout les trois se mettent à  danser et à  rire
Comme tout ceux de cette histoire vous pouvez sourire
Aux milieux de nulle part, des grains et du vent
Le vieux capitaine fatigué de sa guerre contre le temps
A suivi son étoile, celle de sa vie avec beaucoup d’attention
Il rit maintenant car devant ses yeux il aperçoit l’horizon

… Cette étoile si vous y croyez vous aussi un peu
Je la regarde pour vous et vous souhaite d’êtres heureux …
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Mar 3 Nov 2009 11:39

Une larme coule de mes yeux
Elle rejoint l’océan et son grand bleu
Sort du piano cette douce musique
L’histoire de Geoffrey et d’angélique

Ce vieux film est un peu démodé
Histoire d’amour d’un temps oublié
Moi le corsaire au cœur d’acier
Je sais qu’on ne peut revivre le passé
Mais l’avenir si on y croit un peu
Peut être as t’il la couleur de mes yeux

Comme je vous le dit à  tous souvent
Il ni a rien pour moi de plus important
Que de tout faire pour votre bonheur
Le mien à  moi est caché dans mon cÅ“ur

O๠que je sois à  la barre de ce navire
Je veux voir sur vos visages des sourires
J ai beaucoup appris au long de ma vie
Mes yeux on vu la guerre et tout son prix
Les blessures de vos à¢mes et vos peines
Et je ne sais pas ou la vie moi m’emmène

Cette vie qui est aujourd’hui la mienne
Ne sera plus jamais une vie de bohème
Si vous tous qui êtes la aujourd’hui
Etes heureux même les jours de pluie

Et si un jour, car oui on ne sait jamais
Pour raison o๠une autre je m’en vais
Regardez dans le ciel tout étoilé
Un astre là  haut se mettra à  briller
Ayez toujours confiance dans la vie
Car le soleil revient toujours après la pluie

Une larme coule de mes yeux
Elle rejoint l’océan et son grand bleu
Mon bonheur est caché dans mon cÅ“ur
Bien à  l’abri du vent et des voleurs
C’est une flamme qui jamais ne s’éteindra

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Jeu 5 Nov 2009 08:44

merci d'être devenu au fil du temps
un ami .... dans ce qu'il y a de grand
:bisou:
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Jeu 5 Nov 2009 13:32

Un orage vient d’éclater
En sursaut je me suis réveillé
Mais tu n’es pas à  mes cotés
Je ne peux pas te protéger

Orage de l’hiver
Je me rappel d’hier
Orage de printemps
Il est loin ce temps
Orage d’été
Un jour on fini par s’oublier
Orage d’automne
à‡a pleure aussi les hommes

Une musique douce dans ma tête
Au loin le cri d’une chouette
Je ne peux plus dormir
Mon cœur me fait toujours souffrir

Tes paroles qui résonnent encore
Et mon cœur qui bat si fort
Que de son bruit ne détonne
Dans le silence lui si monotone

Orage de l’hiver
Je me rappel d’hier
Orage de printemps
Il est loin ce temps
Orage d’été
Le train du bonheur est passé
Orage d’automne
à‡a pleure aussi les hommes

Chaleur d’une longue nuit
Marquée par les larmes de l’ennui
Un coup de tonnerre
C’était beau un soir d’hiver

Comme un dernier je t’aime
Reste en moi comme un emblème
Le plus tendre de mon histoire
Dans les yeux d’un doux regard

Orage de l’hiver
Je me rappel d’hier
Orage de printemps
Il est loin ce temps
Orage d’été
Le temps ne fait que passé
Orage d’automne
à‡a pleure aussi les hommes

Laisser passer tous ces orages
Crier a dieu toute sa rage
Dénoncer aux anges leur erreur
Miroir briser sept ans de malheur

Perdre ce qui restais de toi
Et la nuit maintenant avoir si froid
Continuer à  vivre sans savoir
Continuer seul une histoire

Orage de l’hiver
Je me rappel d’hier
Orage de printemps
Il est loin ce temps
Orage d’été
Jamais je ne veux t’oublier
Orage d’automne
à‡a pleure aussi les hommes
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Ven 6 Nov 2009 11:53

Le jour n’est pas levé et il fait encore un peu nuit
La chambre est rangée, j’ai enlevé les draps du lit
Un dernier tour de clé et me voilà  déjà  parti
Les volets sont clos pourtant il n’y a rien à  voler
Une étoile brille le haut comme pour me saluer
Il ne fait pas chaud et mes larmes ne vont pas m’arranger
Je m’enfui, je m’enfui
Vers une autre vie …

Je roule depuis deux heures sans trop de conviction
à‰bloui par les lueurs des gros phares des camions
Sur la vitre de la vapeur et dans ma tête plus trop d’illusion
Ce n’est pas facile de tout quitté de laisser derrière soit
Les souvenirs de son passé, son destin on ne le choisi pas
Si j’avais su mieux aimé, je n’en serais pas là 
Je m’enfui, je m’enfui
Vers une autre vie …

Un peu de brouillard qui va bientà´t se dissiper
Une brume des fêtards pour mieux m’accompagner
Un dernier au revoir aux paysages que j’ai tant aimé
Je m’arrête à  la station juste pour faire le plein
Le café noir sent tellement bon, je vais en boire un
La jeune serveuse me demande les raisons de mon chagrin
Je m’enfui, je m’enfui
Vers une autre vie …

Je passe devant chez toi, tu prépares le petit déjeuner
Je suis la sans que tu ne me vois, heureuse je t’entend chanter
La vie te devais bien ça, moi je peux ce matin m’en aller
Le jour s’est enfin levé, je suis sur le pont de ce bateau
Pas facile de tout abandonné, le soleil brule dans mon dos
Demain je le verrais se coucher, et je me dirais qu’il est beau
Je m’enfui, je m’enfui
Vers un autre pays, vers l’Australie
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Mar 10 Nov 2009 17:10

Là  dans cette tranchée
Perdu dans mes pensées
Je laisse le temps passé
En repensant aux jours aimés

La dans cette tranchée
le temps semble comme arrêté
Et si ce n’était qu’une trêve
Dans l’horreur et l’immoralité
Ou juste la fatalité
bien loin de cette guerre
notre vie à  nous c’était hier
Plutà´t une simple trêve
Juste avant de reprendre la réalité

Quand l’obus à  éclater
Je me suis réveillé
Je suis sorti de mon rêve
Retour de la bêtise de l’humanité
Retour sur la banalité
pour nous le jour de gloire
O๠alors la nuit noire
Pour nous les médailles
O๠la brà»lure de la mitraille

Là  couché dans la tranchée
Une balle vient de me toucher
C’est à  toi que je continue de penser
Continuera tu as m’aimer
Quand le vent m’aura emporté
Vers le monde de l’éternité
Sauras tu aussi me pardonner
de mettre laisser tombé

Pour nous le jour de gloire
O๠alors la nuit froide et noire
Et si ce jour elle est pour moi
Toi que j’aime ne pleure pas
Non ne pleure pas !
Garde moi au chaud dans toi
Que je vive dans ton cÅ“ur à  toi

La dans cette tranchée
Perdu dans mes pensées
Loin des jours heureux passés
Tu sais cette balle ne m’atteindra
Et le pire ne risque que d’arrivé
Que si tu n’est plus la …plus la !
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Mer 18 Nov 2009 09:45

Je suis fatigué dans ce monde pour moi si grand
Des images dans ma tête qui défient le temps
Les gens que je ne comprend vraiment plus
Les blessures de la vie ont mis mon cÅ“ur à  nu

Les tempêtes continuent de balayer nos vies
Le destin s’amuse à  transformer le jour en nuit
Peux à  peux je m’enfui de ce monde qui m’interpelle
O๠le moindre sentiment est mis à  la poubelle

Alors je pars quand je ferme mes yeux
Dans mes rêves de nouveau je suis heureux
J’oublie les tracas de cette vie sur terre
Avec toi je survole le grand univers

Les journées se suivent comme des galères
Des coups de bambou au vent qui sème la colère
Pour un rien ici ou là  on fait du mal aux enfants
Et moi je ni peux rien je ne suis pas un géant

A travers les informations on découvre l’injustice
On se demande qui sert d’interprète à  la police
Pour une poignée d’argent on devient un assassin
Je ne peux pas sauver le monde je suis trop loin

Alors je pars quand je ferme mes yeux
Dans mes rêves de nouveau je suis heureux
Je te retrouve et on marche main dans la main
Avec toi dans ce monde magique là  je suis bien

La dureté des coups que chaque jours je reçois
Ne me font pas pour ça aller plus droit
Malgré le froid et le regards méchants des autres
Je suis toujours là  et je garde la tête haute
J’aurais bien envie de tout laisser tomber
De ne pas trouver le courage de me lever
Mais il le faut bien même si ça les dérange
De tirer ma révérence dés fois ça me démange

Alors je pars et quand je ferme mes yeux
C’est avec toi que je vois la vie en bleu
On s’aime dans mes rêves avec passion
Des enfants qui chantent dans ma maison

Alors quand je pars et que je ferme mes yeux
C’est avec toi que je rêve et que je suis heureux
Je n’ai plus jamais envie d’ouvrir mes yeux
Je veux rêver et être heureux ….
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Jeu 19 Nov 2009 11:29

Dieu des hommes,
Je ne crois plus en toi,
Dieu je t’abandonne,
Je n’ai plus de foi
Dieu du ciel,
Je me brule les ailes,
Dieu de la mer,
Je préfère la terre,
Dieu de la terre,
Je préfère la mer …

Tout bien obéissant
Un genou à  terre
Ils font bien semblant
Et pensent le contraire
Aimez-vous les uns
Et rejeter les autres
Croyez au meilleur demain
Et rejeter vos fautes
Réunion tous en cÅ“ur
Chassez le naturel
Songe et même lueur
D’une vie éternelle

Dieu des hommes,
Dieu je t’abandonne,
Je ne crois plus en toi
Je n’ai plus de foi

Tendre l’autre joue
Et frapper le plus fort
Plus on est de fous
Dans le corps à  corps
Faire son signe de croix
Paraà®tre le plus beau
Ne plus croire à  toi
Pas plus qu’a tes mots
Tendre la main
Pour faire semblant
Voler tout le pain
Et jouer les ignorants

Dieu de la mer,
Je préfère la terre,
Dieu de la terre,
Je préfère la mer …
Dieu de l’amour,
Je ne crois plus en toi
Pour tous les jours,
Je t’ai perdu toi,
Dieu des hommes
Adam à  croquer la pomme

Frères devenus Paà¯ens
Rebus de la société
Mendient tendant la main
Tu ne fais plus pitié
Guerre de religion
Abondance de morale
Histoire de pognon
Présence de petit caporal
Prions pour le repos des guerriers
Mécréant si tu ne crois pas
Les fidèles vont te baptiser
Ils sont beaux vos soldats

Dieu des hommes,
Je ne crois plus en toi,
Dieu je t’abandonne,
Je n’ai plus de foi
Dieu du ciel,
Je me brule les ailes,

Ni ange et ni démon
Juste simple mortel
sans dieu et sans religion
dans le bleu du soleil
un cœur de pierre
sans maitre ni gourou
simple amoureux de la mer
même pris pour un fou
j’avance sans regarder devant
sans foi et sans loi
dans un tourbillon de vent
je ne marcherais plus jamais au pas
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Lun 23 Nov 2009 14:57

Ma Bretagne tu es belle par tout les temps
Sous le soleil, la pluie ou les vents violents
Bretagne c’est toi que j’aime et que je vénère
Pour toi, un jour si il le faut je ferais la guerre
Ma Bretagne, tu sais toi combien, je t’aime
Car c’est ta terre qui coule dans mes veines

Bretagne, terre de landes et de bruyères
Des falaises qui se dressent face à  la mer
Tu vas de cancale jusqu'à  Saint-Nazaire
Du Morbihan à  la pointe du Finistère
Du Pays Rennais jusqu’au Cotes d’Armor
De la L’Ille et Vilaine au Pays d’Arvor
Cote d’Emeraude et berceau de la Rance
Un jour tu as fait allégeance au pays de France
De Saint Malo jusqu'à  la presqu’à®le de Quiberon
De Vannes à  Lorient, de Morlaix ou de Lannion
Nous tes enfants nous sommes très fier de toi
Et jamais personne de nos cÅ“urs t’enlèvera

Ma Bretagne tu es belle par tout les temps
Sous le soleil, la pluie ou les vents violents
Bretagne c’est toi que j’aime et que je vénère
Pour toi, un jour si il le faut je ferais la guerre
Ma Bretagne, tu sais toi combien, je t’aime
Car c’est ta terre qui coule dans mes veines

Bretagne d’amour tu t’avances dans la mer
Pays de Cornouaille couverte de calvaires
Tempête d’hiver au soleil brà»lant l’été
Tu montres aux estivants toute ta fierté
Tes hommes à  toi sont fait dans le granit
Tels les menhirs, ton amour il se mérite
Bretagne, mon cœur vogues sur tes plages
Comme mes soupirs envahissent tes rivages
Au Cap Fréhel o๠je vais trop me ressourcer
Quand en moi le doute s’est encore installé
Toi ma région ou je suis né tu es toute ma vie
Je garde en toi le bonheur de ma terre chérie

Ma Bretagne tu es belle par tout les temps
Sous le soleil, la pluie ou les vents violents
Bretagne c’est toi que j’aime et que je vénère
Pour toi, un jour si il le faut je ferais la guerre
Ma Bretagne, tu sais toi combien, je t’aime
Car c’est ta terre qui coule dans mes veines

Bretagne, pour les autres tu as beaucoup donné
Sans jamais être au plus juste récompensé
Tu as vu mourir à  la guerre trop de tes enfants
Dans le nord de la France eux ils étaient devant
Fières nos bretons tombés au champ d’honneur
Croix Celtiques qu’ils portaient sur leurs cœurs
Tant de drames et de marins sont un jour partis
Les corsaires ou aventuriers qui en mer ont péris
Nous les Bretons notre seconde mère c’est toi
Et nous t’aimons tellement juste à  cause de ça
Quand viendras le jour ou moi je devrais partir
Je veux sur toi briller et te voir encore grandir

Ma Bretagne tu es belle par tout les temps
Sous le soleil, la pluie ou les vents violents
Bretagne c’est toi que j’aime et que je vénère
Pour toi, un jour si il le faut je ferais la guerre
Ma Bretagne, tu sais toi combien, je t’aime
Car c’est ta terre qui coule dans mes veines

Bretagne, pour toi mon cœur bat tellement fort
c’est le « Gwen Ha du » qui couvrira mon corps
Car Breton je suis et je resterais toute ma vie
O๠que je sois en enfer ou même en Australie
Bretagne, pour toi mon cœur bat tellement fort
Que un jour le « Gwen Ha du » couvrira mon corps
Comme un corsaire qui quitta un jour Saint Malo
Je veux sur moi le plus beau de tout les drapeaux
Noire et blanche sont les couleurs de ta flamme
Se sont les plus belles celles de ma chère Bretagne
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Mar 24 Nov 2009 13:59

L'eau qui court ....

Méfie toi toujours de l'eau qui court
car crois moi elle finit toujours
par emporter tout sur son passage
en te laissant un sérieux message
et elle sait aussi te faire remonter
toutes tes réalités que t'avais cachées

Pourtant quand on te regarde bien
tu es vraiment parti de rien
quelques difficultés dans ta vie
t'on forgé un caractère pour la survie
tu as même cru un jour plonger
mais sur ta route tu as croiser
un ange qui t'as remis sur le chemin
alors pour toi, ça tombait très bien
un peu de succès, devenu populaire
tu as appris à  tout le monde a plaire
au monde il n'y avait plus d'important
y 'a plus que toi qui compte maintenant
t'as même laissé tomber les vrais amis
les laissant la comme un oubli, un oubli
sur la scène, on t'as vite idolà¢tré
l'indispensable, bref la personnalité
tu es tombé dans le piège infernal
pour toi, être devant est devenu vital

méfie toi toujours de l'eau qui coure
car crois moi elle finit toujours
par emporter tout sur son passage
en te laissant un sérieux message
et elle sait aussi te faire remonter
toutes tes réalités que t'avais cachées

prêt a tout pour être devant les projecteurs
t'en fini même par oublier ton bonheur
pourtant tu avais critiqué ceux avant toi
ceux qui se comportaient comme ça
pour vivre tu as besoin de te montrer
pour toi c'est la seule façon d'exister
c'est devenu comme un drogue pour toi
tu tournes en rond dés que ça ne marche pas
autour de toi, en essaye de t'éclairer
pour éviter que tu finisse par te planter
même quand le soir tu rentre chez toi
tu ne penses et ne vie plus que pour ça
c'est pourtant pas ton plus beau rà´le
même si toi tu te trouve le plus drà´le
T'es même plus capable de t'arrêter
pourtant l'eau qui courre, elle à  la clés
alors fait simplement très attention
tu finiras loin de la une des parutions
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Mar 24 Nov 2009 14:39

Il y a longtemps dans la cour de la petite école lors d’une récréation
Un petit garçon assis sur un muret regarde les autres jouer au ballon
Il n’a pas été retenu dans une des deux équipes qui ont étés formées
On l’a mis remplaçant, un de trop, il comprend pas, mais est résigné
Il attend seul, peut être qu’un jour, il y en a un qui va se blesser
Et comme un grand joueur, il pourra enfin lui aussi enfin pratiquer
Mais la cloche de l’école résonne, la partie est déjà  finie sans lui
Alors comme tout les autres, il regagne sa classe, avec un peu de dépit.

Etre devenu, remplaçant de droit
Celui dont on ne fait pas le choix
Celui qui regarde les autres en rêvant
En espérant qu’un jour il sera temps
Pour lui de devenir titulaire
De montrer ce qu’il sait faire

Dans un collège ou un lycée, des groupes d’ados ce sont formés
Le petit garçon a grandi lui aussi , il cherche simplement a s’intégrer
Dans ces clans, il n’a pas de place, on n’a pas envie de lui
Alors il rêve au grand destin, en gardant en lui, tout le mépris
Pour exister, il ne loupe jamais la moindre petite occasion
De faire rire les autres, il croit que c’est même une solution
De devenir leur copain, mais la fin de la vie scolaire est arrivée
Et tout ses rêves d’amour d’écolier, restent aussi inachevés

Etre devenu, remplaçant de droit
Celui dont on ne fait pas le choix
Celui qui regarde les autres en rêvant
En espérant qu’un jour il sera temps
Pour lui de devenir titulaire
De montrer ce qu’il sait faire

Une faculté dans une grande ville, pleine de brillants étudiants
Un jeune homme, tant bien que mal apprend le fonctionnement
Il est timide, personne ne lui explique les démarches a entreprendre
Seul il se débat et aucune ne semble vraiment le comprendre
Une jeune fille lui sourit gentiment et lui tend simplement la main
Il rêve encore une fois, une petite histoire, il sait c’est pas malin
L’échec total arrive vite, il va tout droit vers les grands fonds
On c’est jouer de lui, il ne l’a pas compris et n’a pas fait attention

Etre devenu, remplaçant de droit
Celui dont on ne fait pas le choix
Celui qui regarde les autres en rêvant
En espérant qu’un jour il sera temps
Pour lui de devenir titulaire
De montrer ce qu’il sait faire

Plusieurs années ont passés, des galères et beaucoup de tourments
Les aventures de la vie, le petit garçon est devenu un homme maintenant
Il existe simplement et essaye de faire de son mieux en rendant service
Il se fout des médailles, de l’argent et ne veut pas de bénéfices
Il n’a pas grand chose a offrir, juste un peu d’amitié à  vous donner
Sur son épaule fauche, un jour, il a tatoué la mention pour toi réservé
C’est comme ça, il s’est fait sa place et à  réussi à  devenir titulaire
Pas d’une équipe de foot mais juste pour montrer ce qu’il pouvait faire
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Mer 25 Nov 2009 17:28

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Jeu 26 Nov 2009 10:45

Vagues à  l’à¢me

Derniers rayons de soleil sur une vie
Dernières lueurs d’espoir avant la nuit
Journée d’un noà«l ou l’on s’ennuie
Caresse du rouge sur fond de gris
Derniers rayons de soleil sur le verre
Derniers voiliers qui s’affèrent
Journée d’un noà«l en bord de mer
Caresse des vagues touchant la terre

L’ennuie de la vie parcours un cœur
Le froid à  la place de l’autre la chaleur
Chaque minute ressemble à  des heures
Sans projet l’avenir nous fait tous peur
Vagues à  l’à¢me d’un cÅ“ur en détresse
Une larme qui coule trop plein de tristesse
D’un marin sur l’océan lançant des s o s
Un message d’amour sa seule richesse

Derniers rayons de soleil qui s’en vont
Dernières lueurs d’espoir avant le fond
Journée d’un noà«l sans grande tradition
Caresse du blanc sur un petit balcon
Dernier rayons de soleil sur un ange
Dernier voyage au goà»t trop étrange
Journée de noà«l que rien ne dérange
Caresse de la vie qu’on ne s’arrange

Complainte d’un marin un peu perdu
Un capitaine abandonné qu’on destitue
Un combat malgré tout vite interrompu
Une armure trop grande qu’on restitue
Le gris du ciel devenu de mauvais augures
Une masse sombre qu’on ne défigure
Des vagues de la plus grande envergure
D’une année qui ne demande que l’on inaugure

Derniers rayons de soleil avant le crépuscule
Dernières lueurs d’espoirs en minuscule
Journée d un noà«l o๠la mer furieuse s’ondule
Caresse du temps qui se déploie sur la pendule
Derniers rayon de soleil avant le froid
Derniers bateaux qui cherchent leurs voies
Journée de noà«l o๠je m’ennuie de toi
Caresse dans mon cœur o๠c’est toi qui bat
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Jeu 26 Nov 2009 12:01

La neige

Les animaux se réfugient au chaud
La neige tombe fort sur la plaine
Le temps dehors ne se fait pas beau
Les hommes cachent leurs peines

La couleur du blanc recouvre la forêt
Le grand sapin abrite de son mieux
Le chevreuil se cache dans les genets
Les hommes agenouillés prient leur dieu

La neige tombe si lentement
Le lièvre se gite comme il peut
Dans l’herbe rase face au vent
Les hommes se rassemblent près du feu

Le vent promène toujours les flocons
Les oiseaux se perchent à  l’abri
Le soleil brille de ses derniers rayons
Les hommes ont peur de ce que sera leur vie

La nuit va bientà´t tomber sur la ville
La nature va se reposer dans un silence
Dans le ciel on verra une étoile qui brille
Les hommes attendent avec impatience

Le froid va envahir toute la terre
Les sapins sont parés de leur habit blanc
Les vÅ“ux exhaussés de nombreuses prières
Les hommes pleurent maintenant

Demain le blanc recouvrira toute la région
Les animaux resteront cachés comme il faut
Voleront au vent les tout derniers flocons
Pour les hommes demain il fera beau
…
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Lun 30 Nov 2009 16:21

La rose d'amour

Au crépuscule du jour
Quand surgi l’aube de la nuit
Une belle rose d’amour
Est venue me parler de la vie

L’amour tu sais me dit elle
à‡a surgit un jour comme ça
Comme une jolie hirondelle
Qui rempli ton cœur de joie

Alors tu te sens heureux et bien
Que tout te semble très léger
Tu en oublie même le quotidien
Rien ne peut alors plus te toucher

Et puis vient un jour l’automne
Amenée par Le vent et ses tempêtes
Celles qui font souffrir les hommes
Ils connaissent la peur de la défaite

Et même tout les grands capitaines
Ne peuvent vraiment tenir longtemps
Dans le froid sans écharpes de laines
Quand la vie n’est plus que mauvais temps

Les navires sont tous fait pour sombrer
Quelques mots suffisent même à  dire
Bien heureux sont alors les naufragés
Dans la mer déchainée ils auraient pu périr

Au crépuscule de la nuit
Quand surgi l’aube du petit jour
Elles est venue me parler de ma vie
Celle qu’on appel la rose d’amour
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Mar 15 Déc 2009 13:57

Emmitouflé dans une trop vieille gabardine
Loin des uniformes de la belle et grande marine
Sur le pont un homme se débat comme il peut
Mais les éléments furieux sont eux trop nombreux
On ne peut rien personne ne pourra empêcher
Son vieux bateau, cette nuit par le fond de sombrer
Un dernier coup de vent à  déchirer la grand voile
Comme s’est aussi éteinte la lumière de son étoile
Le capitaine abandonné et seul lutte toujours et encore
Mais il ne peut et ne réussira pas à  s’opposer à  son sort

Seul dans la nuit il reste fier et fait face son destin
Seul dans sa vie la mer emportera tout son chagrin
Le destin d’un capitaine des aventuriers ou des corsaires
C’est de toujours combattre et de finir au fond de la mer

La nuit se fait plus noire et le froid lui est plus grand
Le bruit n’effroi pas l’à¢me d’un chevalier perdant
Le mà¢t à  fini par se rompre et a finit par tomber
Les paquets de mer s’engouffrent sans plus tarder
Coup du sort, malchance et sale temps pour un naufrage
L’eau emporte tout et sur le pont c’est le grand nettoyage
Pas de pitié pour le capitaine au cÅ“ur de pierre
C’était son avenir de périr un jour au milieu de la mer

Seul dans la nuit il reste fier et fait face son destin
Seul dans sa vie la mer emportera tout son chagrin
Le destin d’un capitaine des aventuriers ou des corsaires
C’est de toujours combattre et de finir au fond de la mer

A quoi bon lutter quand le combat est perdu d’avance
A quoi bon y croire et se cacher derrière une arrogance
Ne dit on pas que le destin même celui des capitaines
C’est de ce battre toujours même à  perdre haleine
Qu’ils soient aventuriers ou bien encore corsaires
Un jour ils connaitront l’abime et le fond de la mer
A quoi bon lutter, a quoi bon y croire, à  chacun son destin
Seul dans ma nuit, seul dans ma vie, j’ai choisi le mien
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Jeu 24 Déc 2009 18:53

C’était il y a déjà  très longtemps, je n’étais pas encore le capitaine Surcouf, mais un jeune lieutenant de l’armée Française.

Nous étions le 24 décembre et avions passé la semaine à  crapahuté dans la jungle. Là -bas, dans ce pays à  l’autre bout du monde, dans un de ces pays o๠les hommes se font encore la guerre pour un petit bout de terrain.
La journée n’avait pas été de tout repos. Des pluies diluviennes avaient finis par nous casser encore plus.

Forcés de toujours évoluer l’œil attentif et le doigt sur la gà¢chette, notre patrouille n’en finissait pas.
Trempés, sans trop de vivres, nous avions été coupés de notre base. Lors d’une embuscade avec des trafiquants, notre radio avait rendu l’à¢me… et cette végétation que nous aurions pu trouver si belle en temps normal, n’était pour nous que cauchemar et désespoir.
En tant que « chef » j’avais la responsabilité de mes hommes, et étant moi-même harassé et ne sachant plus trop o๠j’allais. Je ne devais pas montrer ni mon angoisse, ni mon état.

Nous étions donc la veille de Noà«l, le soir du réveillon, drà´le d’endroit pour nous. Le bivouac fut donc installé près de la rivière. Tant bien que mal, l’adjudant alluma un feu, la troupe s’y agglutinant pour se tenir chaud.
A l’écart, la solitude du chef, assis sur un rocher et adossé à  un grand arbre, J’observais mes hommes grignotant leur maigre pitance.
Soirée exceptionnelle, des chants vinrent accompagner ce repas de rois.

Loin de la guerre, loin de tout, le temps suspendit son vol, j’avais à´té mon casque et pris ma tête dans ma main, pour faire le point sur cette situation et sur nos perspectives d’avenir. Comment ne pas perdre la face ? Comment ne pas montrer ma peur a mes gars ? Comment retrouver notre route et ramené tout le monde a la base ? Oui, comment ?

Le froid, l’humidité, et la faim m’empêchèrent cette nuit là  de fermer les yeux, et pourtant moi aussi, j’étais cassé, physiquement et moralement.
Mon regard ce perdit alors vers la rivière et fut intrigué par une forme étrange, on aurait dit un silhouette féminine… très vite je repris mes esprits et fut surpris de voir assis à  mes cotés un vieil homme aux cheveux blancs et à  la barbe blanche.
Je restais donc, moi le soldat, sans réaction, il me sourit et me dit de ne pas avoir peur, qu’il se reposait lui aussi et que ce temps était vraiment pas fait pour se perdre dans cette flore Equatoriale.

Vraiment moi qui montait la garde pour laisser mes braves se reposer, et bien je n’avais pas assumé mes fonctions.

Nous parlà¢mes de tout et de rien, mais il me conseilla sur différents points dont je me sers encore aujourd’hui. Une de ces phrases, me revient souvent et je la prodigue moi aussi. « Ne jamais souffrir d’une chose, dont on n’est pas responsable »
Cet adapte est aujourd’hui le mien quand je cherche à  donner et à  rendre le bonheur.
Un autre de ces adaptes, « toujours garder l’espoir et de me référer à  ce qu’il y a de marquer sur les armes de mes ancêtres ».

Moi qui ai voyagé dans bien des mondes et dans bien des espaces temps, je peux vous paraà®tre fou, mais je ne suis que moi-même.

Je me souviens de cet homme, et surtout de son histoire, il me racontà¢t dans nos échanges son passé.
Il était originaire d’un pays très, très au nord o๠la nuit et le jour se confondent tellement que l’on ne sait plus qu’elle heure il se fait. Durant toute sa vie, il avait travaillé dans une scierie.

Quand l’heure de quitter le monde actif fut venue. Il se retira avec sa tendre épouse, dans une petite demeure d’un village près d’une grande forêt.

Le couple n’ayant pas eu le droit de pouponner à  leur plus grand désarroi, ils se lancèrent dans la fabrication de jouets en bois. Une année entière fut nécessaire pour la réalisation des objets tant désirés par les bambins du village. Le couple décida alors de distribuer un soir de décembre leur production et ce pendant que l’ensemble de la population était réunie dans l’église.

Je me souviens avoir eu du mal à  suivre mais bon, ça me faisait du bien de parler et de m’évader aussi de ce métier pour lequel on me payait.

A la question lui demandant comment il avait fait pour arriver lui aussi sur ce rocher au milieu de cette jungle, il me souriait et posant son index sur la bouche et me fit « chut » on me montrant la rivière.

Mon regard se porta de nouveau vers l’eau qui s’écoulait lentement malgré les pluies torrentielles.

Je revis la silhouette de cette femme. Tout en la regardant danser sur les flots. Je posais alors la question de savoir quel était son nom à  mon nouvel ami.

Nouvelle surprise il n’était plus à  mes cotés, mais son dernier mot je l’entends encore « Noà«l », …

Il s’appelait donc « Noà«l ».

J’ai du sourire cette nuit là  et malgré le froid, mon cÅ“ur avait eu chaud, la magie de ce 24 décembre, sauf que nous étions déjà  le 25.

Le jour s’était levé, la pluie avait cessé… Et le bruit des hélicos saluà¢t la fin de nos misères en ce jour de Noà«l, ou nous étions si loin de nos familles, si loin de chez nous.

Je suis là  assis à  mon bureau, bien des années ont passés. Il pleut dehors, mais je suis à  l’abri. Le radiateur me chauffe la couenne, je ne suis pas miséreux, je veille sur le site « beloteforum », sur ce site fait pour les naufragés du net.

Ce soir, je ne réveillonne pas, juste un jambon beurre agrémenté d’un verre de cognac, mais c’est mon choix ! Il me manque « elle », mais ça c’est une autre histoire.
Tout ce que je sais, c’est qu’o๠il est aujourd’hui ce vieux monsieur à  la barbe blanche qui s’appel Noà«l à  influencer un truc inimaginable et ma aider moi aussi un soir o๠rien n’allait…

Alors à  vous tous, et à  toi si tu li un jour, je te souhaite un joyeux Noà«l
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Lun 4 Jan 2010 11:08

Le ciel bleu envahit le ciel
Le soleil se lève peu à  peu
Je rêve d’un d’arc en ciel
alors je ferme mes yeux

Quelques part sur cette terre
Je connais un petit garçon
qui lui rêve de corsaires
en y jouant avec passion

et dans sa petite tête blonde
Il se voit hisser haut la voilure
Et partir autour du monde
Pour vivre une vie d’aventures

Ma tête entre mes mains
Je n’ai pas envie de bouger
Malgré le soleil de ce matin
J’ai froid et ne peu me réchauffer

Je me souviens d’autrefois
D’aventures au bout de la terre
D’avoir hisser la voile je crois
Et d’être parti un jour sur la mer

Petit garçon si je pouvais te dire
Tu sais la vie on ne la choisi pas
D’après le reste de mes souvenirs
on est déçu beaucoup trop de fois

Même les plus grands corsaires
Ne trouvent pas ce qu’ils cherchent
Ils non pas la vie qu’ils espèrent
Et ne trouvent pas toujours richesse

Je ré-ouvre peu à  peu mes yeux
Le soleil brille plus haut maintenant
Le ciel est devenu d’un beau bleu
Petit garçon tu es loin maintenant
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Mer 6 Jan 2010 16:23

J’ai connu le haut,
J’ai connu le bas,
J’ai connu le chaud,
J’ai connu le froid,

J’ai connu le vent,
J’ai connu le calme plat,
J’ai connu les ouragans
J’ai connu l’abime trop de fois …

Qui pourra me dire
O๠va ma vie !
Qui pourra m’écrire
Les mots qui me donnent envie …

J’ai connu la guerre
J’ai connu la paix
J’ai connu la misère
J’ai connu des jours parfaits

J’ai connu le grand amour
J’ai connu la solitude
J’ai connu des mauvais jour
J’ai connu de meilleurs latitudes

Qui pourra un jour me condamné
Pour ce que j’ai dit
Qui pourra un jour me pardonner
Si je lui ai réellement nui

J’ai connu la haine
J’ai connu le bonheur
J’ai connu la pleine
J’ai connu la flamme de mon cœur

J’ai connu la prison
J’ai connu la liberté
J’ai connu les odeurs de poisson
J’ai connu le bonheur d’aimer

Qui pourra un jour me dire
Que ma place c’est de rester
Qui pourra me retenir
Au loin de m’en aller …

J’ai connu les rires
J’ai connu les drames
J’ai connu le pire
J’ai connu les larmes

J’ai connu du beau monde
J’ai connu le bas du quartier
J’ai connu des têtes blondes
Et des brunes sans pitié

Qui pourra me dire ou je vais
O๠se trouve mon avenir
Qui pourra me donner la paix
A laquelle maintenant j’aspire …

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Dim 10 Jan 2010 11:37


Le bruit de la paix


Les armes se sont tus ce matin
Les hommes se sont serré la main
Les larmes ne couleront plus jamais
La guerre à  ainsi laissé place à  la paix

L’avenir appartient à  notre futur
Dans mon cœur on bat la mesure
Le soleil brille sur mon chemin
Et moi je rentre chez moi, enfin

La musique accompagne mes pas
Depuis longtemps je n’ai plus froid
Une lueur cligne dans mes yeux
Le bonheur est revenu en ces lieux

Les oiseaux s’envolent dans le ciel
Il fait chaud et c’est bien l’essentiel
On dirait que l’avenir m’appartient
Je n’ai plus peur de mes lendemains

Le ciel d’hiver c’est paru d’un beau bleu
On dirait que lui est aussi heureux
La tristesse à  laissé place à  la vie
Et les mes rires ont pris celle de l’ennuie

Cette route peu à  peu me conduit
Vers les rêves qui m’accompagnent la nuit
J’ai retrouvé enfin l’étoile qui m’éclairait
Le beau temps n’attend pas le mois de mai

Simplement on à  tous dans nos cÅ“ur
Caché un petit peu d’un grand bonheur
Il suffit juste de se serrer la main
Et que les armes se taisent un matin
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Lun 25 Jan 2010 16:14

les souvenirs ....

Les temps qui passent,
Les souvenirs s’entassent
Dans mon cœur de glace
Il reste un peu de place …

Les feuilles qui s’envolent
Le jour de la fin de l’école
Des odeurs de craies
Qu’on garde à  tout jamais
Des photos un peu jaunies
D’un temps o๠tout était béni

Adolescent main dans la main
Des amourettes sans lendemain
Des cigarettes de la cours de lycée
Aux premiers chagrins cachés
Des chansons plein la tête
Des révolutions aux soirs de fêtes

Les temps qui passent,
Les souvenirs s’entassent
Dans mon cœur de glace
Il reste un peu de place …

Des amphithéà¢tres de la faculté
Des jeudis soir bien trop arrosés
On s’y croit et on refait le monde
On vit nos vies en trois secondes
Des amours qu’on voit grandir
Aux idéaux qui finissent par s’enfuir

Des actes qu’on regrette après
La réalité en pleine face à  tout jamais
En mémoire de ceux qui venaient de la haut
Et allaient de l’avant à  chaque saut
Des erreurs commises un jour de pluie
Sortant de la lumière vers l’oubli

Les temps qui passent,
Les souvenirs s’entassent
Dans mon cœur de glace
Il reste un peu de place …

Puis un jour retour vers la réalité
Reconstruire et tout recommencer
Ne jamais abandonner l’espoir
C’est pour ça qu’on c’est dit au-revoir
Prouvez aux gens qu’on est quelqu’un
Même si le bonheur lui est encore loin

Survivre dans ce monde devenu agar
Continuer malgré tout de croire
Qu’il y a dans cette vie sur cette terre
Un peu d’humanité pour les solitaires
Qu’il y a un cœur avec un petit endroit
Pour que repose en paix le dernier soldat

Mais Les temps eux passent,
mes souvenirs s’entassent
Dans mon cœur qu’on dit de glace
Tu sais Il reste pour toi de la place …

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Lun 1 Fév 2010 14:27

Malgré les temps qui passent
mes pas qui de plus en plus se lassent
Malgré mes rides sur ma peau
Ma vie qui s’étoile en lambeau
Les blessures de mon cœur
Et mon quotidien sans douceur
Malgré mon souvenir perdu
Et mon à¢me trop souvent mise à  nu

Malgré tout les coups, je suis debout !
Malgré le vent, je suis vivant !
Toujours je tiendrais le coup …
Et ma route ira droit devant !

Malgré la pluie qui me brule le visage
J’avance plus vite que les nuages
Malgré le froid qui me colle à  la terre
La buée qui m’empêche de voir la mer
Le vent qui déchire la grand voile
Et Le noir qui me cache mes étoiles
Malgré la nuit qui remplace le jour
Et ma vie qui manque de ton amour

Malgré tout les coups, je suis debout !
Malgré le vent, je suis vivant !
Toujours je tiendrais le coup …
Et ma route ira droit devant !

Malgré que ma vie n’a plus de sens
Dans mon corps il y a trop de souffrances
Malgré l’orage qui ne cesse de gronder
La neige qui me fait tomber
Les feuilles qui s’envolent au vent
Et L’hiver qui dure pour moi si longtemps
Malgré que je me suis emprisonner
Et que le soleil me manque en été

Malgré tout les coups, je suis debout !
Malgré le vent, je suis vivant !
Toujours je tiendrais le coup …
Et ma route ira droit devant !

Malgré tout les coups que je prend
Malgré tout cela je suis vivant
Toujours je resterais debout
Et ma route vaudra le coup

Malgré tout cela un jour viendra
Malgré l’hiver je n’aurais plus froid ….
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Mar 2 Fév 2010 14:38

le trois mats

J’ai posé mon sac à  terre
Et pour la dernière fois
Je regarde vers la mer
S’en aller le fameux trois mats
Il s’en va à  très belle allure
Les voiles gonflées par le vent
Il part pour la grande aventure
En filant vers le soleil couchant

Il ne sait pas ou la vie le mène
Vers le sud ou bien le nord
Mais qu’ils prennent garde aux sirènes
les matelots qui sont à  son bord
J’avais eu dans la folie d’un rêve
C’était de tous vous emmener
Mais un jour celui s’achève
et avec lui les idées de liberté

Je suis là  sur cette plage
Mon regard s’est un peu perdu
J’attends sans trop de courage
Pour découvrir ce qu’est l’inconnu
Dans le ciel des mouettes rieuses
On dirait qu’elles se moquent de moi
Elles sont bien trop heureuses
De me voir fléchir sous mes pas

Une larme coule de mes yeux
Naissant des embruns de vent
La mer me regarde de son bleu
Comme si j’étais son amant
Il va me falloir tout recommencer
Reconstruire un nouveau futur
Sans jamais renier rien du passé
Mais juste soigner mes blessures

Peu à  peu le soleil lui aussi s’en va
Remplacé par le froid de la nuit
La vie c’est toujours comme ça
L’histoire se termine par c’est fini
Le trois mats n’est déjà  plus là 
Mon regard le cherche sur les flots
Tans pis, Il est parti sans moi
C’est dur car c’était mon bateau
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Sam 13 Fév 2010 14:50

Si j"étais un autre que moi

Si j’étais magicien, je colorierais pour toi le ciel en bleu
Et je chasserais toutes les larmes qui envahissent tes yeux
Si j’étais magicien, je ferais de ta vie un nouveau comte de fée
Une vie de bonheur celle dont t’as droit et toujours rêvé
Si j’étais magicien, je couvrirais ton chemin de bonheur
Et dans ton cœur, j’y installerais pour toujours la chaleur
Si j’étais magicien, pour toi, la vie serait facile et si belle
Un printemps permanent, un été chaud, un soleil perpétuel

Je ne suis pas magicien, je ne suis qu’un homme
Que dieu, les diables, et toi me pardonnent
Je n’ai rien pas grand chose à  te donner
Une rose chaque matin et une épaule pour te reposer
Tout ça pour que tu sois bien, et tu sais que cet endroit là 
J’y ai fait tatouer le mot réservé, juste pour toi !

Si j’étais capitaine, je t’emmènerais faire le tour du monde
Et te protègerais quand les vagues sont trop furibondes
Si j’étais capitaine, je te ferais découvrir le grand océan
La banquise, les iles marquises et le chemin des goélands
Si j’étais capitaine, je te ferais découvrir le monde de l’eau
Te faire voyager au-delà  de tes rêves et te montrer ce qui est beau
Si j’étais capitaine, plus jamais de ta vie tu n’aurais peur
Je serais te protéger du vent quand il devient trop inquisiteur

Je ne suis pas capitaine, je ne suis qu’un homme
Que dieu, les diables, et toi me pardonnent
Je n’ai rien pas grand chose à  te donner
Une rose chaque matin et une épaule pour te reposer
Tout ça pour que tu sois bien, et tu sais que cet endroit là 
J’y ai fait tatouer le mot réservé, juste pour toi !

Si j’étais un super héro, je te défendrais contre tous les méchants
Je déposerais un tapis de fleur sur le sol o๠tu marche maintenant
Si j’étais un super héro, j’empêcherais d’aller vers toi les orages
Et je casserais la gueule aux nuages quand ils se font si noirs
Si j’étais un super héro, je changerais le temps pour que tu n’ais pas froid
Simplement juste d’un claquement de doigts parce que c’est toi
Si j’étais un super héro, je soignerais tes blessures et te tendrais la main
Je te serrerais dans mes bras et tout là  haut tu verras comme c’est bien

Je ne suis pas un super héro, je ne suis qu’un homme
Que dieu, les diables, et toi me pardonnent
Je n’ai rien pas grand chose à  te donner
Une rose chaque matin et une épaule pour te reposer
Tout ça pour que tu sois bien, et tu sais que cet endroit là 
J’y ai fait tatouer le mot réservé, juste pour toi !

Si j’étais chevalier d’autrefois, je prendrais mon destroyer et irais vers toi
Pour me mettre à  ton service, comme à  une princesse, a qui je le doit
Si j’étais chevalier d’autrefois, je quitterais au galop ma chère Bretagne
J’irais à  toute allure sans m’arrêter te retrouver au-delà  des montagnes
Si j’étais chevalier d’autrefois, je lutterais et défendrais ton honneur
Avec à  mon bras une étoffe de toi comme le symbole de tes couleurs
Si j’étais chevalier d’autrefois, je deviendrais le premier de tes soldats
Et je ferais la guerre contre tes ennemis que te font pleurer trop de fois

Je ne suis pas chevalier d’autrefois, je ne suis qu’un homme
Que dieu, les diables, et toi me pardonnent
Je n’ai rien pas grand chose à  te donner
Une rose chaque matin et une épaule pour te reposer
Tout ça pour que tu sois bien, et tu sais que cet endroit là 
J’y ai fait tatouer le mot réservé, juste pour toi !

Si j’étais quelqu’un de bien, Je ne chercherais à  partir au plus loin
Je resterais là , à  attendre de savoir si un jour tu as encore besoin
Si j’étais quelqu’un de bien, je ne chercherais pas un jour à  partir
Pour le bout du monde, ne pas m’en aller mais plutà´t m’enfuir
Si j’étais quelqu’un de bien, je ferais attention sur ma route
Je roulerais moins vite et j’éviterais mes craintes et mes doutes
Si j’étais quelqu’un de bien, je ne t’aurais jamais fait souffrir
Aujourd’hui Je serais près de toi à  écouter ton cÅ“ur sourire
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Ven 12 Mar 2010 10:03

Quelque part dans le futur,

Assis sur un banc face à  la mer !
je regarde ma vie défiler en arrière.
Bien longtemps que mon chien Toti,
est parti chasser dans un autre paradis
Je repense un peu à  mon enfance,
a ces années frappées d’insouciances.
Mes parents qui on fait de leur mieux,
pour que je réussi et que je sois heureux.

De ma vie j’ai fait trop de conneries,
Qui m’ont conduit peu à  peu, la ou je suis.
J’ai jouer trop souvent et j’ai aussi perdu !
Je me suis salit les mains et je n’aurais pas du.
Mais finalement tout ça, est-ce important ?
Quand une vie ressemble à  du vent.
De toutes façons il n’y a rien à  regretter,
le train du bonheur, c’est moi qui l’ai loupé.

On peut dire ce que l’on veut de moi !
Que j’ai fait ceci ou que j’ai fais cela…
On a dit des choses qui n’étaient pas vrais,
que je préférais fuir, alors que je m’en vais.
Moi je n’était qu’un homme parmi les gens,
quelqu’un qu’on croise quand il y a du vent.
Une simple personne sans grande importance,
être humble fait partie de mon existence.

J’ai tendu la main à  celui qui en à  besoin,
simplement , je n’ai jamais oublier d’o๠je viens !
J’ai appris que la vie n’était pas si facile,
que les animaux ne sont pas toujours dociles.
des coups j’en ai pris bien trop souvent,
je les cherchais sans doute c’est évident.
Mais dans cette vie j’ai eu un peu de bonheur,
celui qui à  jamais à  marqué mon cÅ“ur.

Quelques part dans le futur,

Je regarde les vagues qui s’avancent la plage
Le temps se couvre, il ya aura peu être de l’orage.
Les enfants doivent êtres grands maintenant ?
J’espère qu’ils ont réussis, c’est ça qui est important.
A mes cotés joue, un petit chien, que j’appel « junior »
Il me rappel, mon vieux Toti de son vrai nom Totaurd.
Tien, maintenant, une larme coule d’un de mes yeux ,
Sans doute le vent qui se montre toujours si capricieux…
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